UNE SI LONGUE CITATION SUR LES GRAVES MENACES QUI PÈSENT SUR LE SÉNÉGAL ET LE NORD-OUEST AFRICAIN !
As-saalamou a'laykoum wa rahmatoullaahi wa barakatouhou très chers frères et soeurs !
C'est parce que je pense sincèrement que la patrie musulmane et africaine est en danger que j'ai pris l'initiative de m'investir sérieusement dans le débat obligatoire -même si c'est à risque- dans ces cas-là, pour faciliter la compréhension de la situation géopolitique et géostratégique en devenir dans notre grande région islaamique nord-ouest africaine, et permettre ainsi une forte prise de conscience, afin que nos peuples opprimés se mobilisent et détruisent les stratagèmes impérialistes, encore qu'il est temps !
Très chers frères et soeurs qui seraient tentés de réfléchir sans même s'en rendre compte comme de "vils serviteurs", ou complices du néocolonialisme post-moderne, passant ainsi toujours à côté de l'essentiel, c'est à vous que je voudrais destiner avant tout cette "si longue citation", afin que vous sachiez que c'est maître Wade et "nos" autres dictateurs et leurs Maîtres communs de Paris, Londres Washington, qui ont déjà pris l'initiative de mettre le Sénégal et la région musulmane dans la stratégie de la poudrière, et non pas les forces révolutionnaires islaamiques sénégalaises et afro-arabes avant-gardistes (qu'ils soient bénits par A L L A A H ) ! ! !
Un rappel donc à qui voudrait l'entendre, car ALLAAH n'aime pas les réformistes et Il déteste les hypocrites; tous à Ses yeux ne sont rien d'autres que des "MOUFSIDIINES" !
Cependant, retenons la vérité subséquente: " Si ALLAAH ne soulevait pas un groupe d'individus(classe sociale, couche socio-populaire, ou groupe religieux ou socio-politique) contre un autre groupe(classe, régime, groupe ou encore groupuscule déterminé), la TERRE SERAIT CERTES CORROMPUE "!!!
Autrement dit: LA LUTTE SOCIALE POUR LE TRIOMPHE DE LA JUSTICE , EST ISLAAMIQUEMENT LÉGITIME !
Et c'est du "halal" !
Je vous souhaite donc une bonne lecture, et surtout une bonne réflexion très chers soeurs et frères, car il y a vraiment matière à méditation !
DEBOUTS MUSULMANS ET MUSULMANES, ET A L' ATTAQUE : ALLAAHOU AKBAR ! ALLAAHOU AKBAR ! ALLAAHOU AKBAR ! RABBOUNAALLAAH !
Sallallaahou a'la Nabbiyyinaa Mouhammad !
" ... Si l’ACRI affiche des objectifs humanitaires, son coordinateur des programmes d’entraînement est le colonel Nestor Pino-Marina, un ancien officier au palmarès évocateur : exilé cubain, il participe au débarquement raté de la baie des Cochons en 1961 ; ancien des forces spéciales, engagé au Vietnam et au Laos, il appartient durant l’ère Reagan à l’Inter-American Defense Board et prend part aux opérations clandestines contre les sandinistes aux côtés de la Contra nicaraguayenne dans les années 1990. Il sera accusé d’avoir participé au trafic de drogue pour financer les expéditions d’armes en Amérique centrale...
Le programme d’entraînement de l’ACRI est conçu pour développer des compétences militaires de base, renforcer des formations de combat et accroître les capacités des états-majors. Le tout, intitulé « mini-équipement, maxi-entraînement », s’articule autour de six « clés » : standardisation, interopérabilité, formation des instructeurs, transparence, soutien, travail d’équipe. Il est même prévu d’étendre les normes d’entraînement à des programmes conduits par d’autres pays comme la France, le Royaume-Uni ou la Belgique et de coopérer avec ces pays.
L’ACRI prolonge une série de programmes d’assistance militaire ou civile ponctuels développés par les Etats-Unis depuis le début des années 1990 et gérés par le secrétariat à la défense. C’est le cas notamment au Mali (voir Le cas du Mali).
De même, en juillet 2001, 400 soldats sénégalais ont suivi, dans le cadre de l’ACRI, une formation à la « guerre psychologique ». Selon le colonel Nestor Pino-Marina, « les doctrines en usage à l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) ont été absorbées (4) ». Des séminaires politico-militaires ont également été organisés pour 65 officiers afin de « les préparer aux opérations de maintien de la paix ». L’exercice a culminé avec la simulation informatique, grâce à des moyens satellites, d’une situation de crise. Le programme Janus, base de l’exercice, a été conçu par Logicon. Il s’agit toujours de développer l’intégration et l’opérabilité aux normes en vigueur au Pentagone et d’installer durablement des équipements américains.
Mais l’ACRI n’est qu’une facette de l’engagement militaire grandissant des Etats-Unis en Afrique. Etabli en 1999, le Centre africain d’études stratégiques – African Center for Strategic Studies (ACSS) – est une branche de l’Université nationale de défense du Pentagone. Cette institution académique fournit un enseignement destiné à du personnel militaire de haut niveau, mais aussi à des leaders civils (responsables politiques ou associatifs, chefs d’entreprise, etc.). Les programmes traitent des relations civilo-militaires, de la sécurité nationale, de l’économie de la défense, etc. En mai 2003, le Mali a été choisi pour accueillir un séminaire consacré à la lutte contre le terrorisme dans la région : l’Algérie, le Tchad, le Mali, la Mauritanie, le Maroc, le Niger, le Nigeria et le Sénégal y participaient. La France et l’Allemagne étaient également représentées.
Après les attentats du 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont accru leur investissement militaire en Afrique. La « guerre contre le terrorisme » leur fournit les prétextes nécessaires. Lors de sa tournée africaine de juillet 2003, le président Bush l’a affirmé : « Nous ne laisserons pas les terroristes menacer les peuples africains ni utiliser l’Afrique comme base pour menacer le monde (5). »
Outre l’Acota, quarante-quatre pays africains participent à un programme spécifique destiné aux officiers : le programme international de formation dans les domaines militaire et de l’éducation (IMET), qui a formé, en 2002, plus de 1 500 officiers. Pour les sept principaux pays concernés (Botswana, Ethiopie, Ghana, Kenya, Nigeria, Sénégal, Afrique du Sud), le coût total de l’IMET est passé de 8 millions de dollars en 2001 à 11 millions en 2003. Enfin, le programme régional de maintien de la paix en Afrique (ARP) inclut un entraînement aux tactiques offensives et le transfert de technologie militaire. De 2001 à 2003, l’ARP a reçu un financement estimé à près de 100 millions de dollars.
La stratégie américaine en Afrique pourrait se résumer à deux axes fondamentaux : d’une part, l’accès illimité aux marchés-clés, aux sources d’énergie et autres ressources stratégiques, et, d’autre part, la sécurisation militaire des voies de communication, notamment pour permettre l’acheminement des matières premières vers les Etats-Unis. « Ce que le peuple américain a retenu de la guerre du Golfe, c’est qu’il est beaucoup plus facile d’aller botter les fesses des gens du Proche-Orient que de faire des sacrifices pour limiter la dépendance de l’Amérique vis-à-vis du pétrole importé », disait déjà M. James Schlesinger, secrétaire d’Etat à l’énergie du président James Carter, lors du quinzième Conseil mondial de l’énergie, en septembre 1992.
C’est évidemment le pétrole africain qui intéresse les Etats-Unis (9). Et, le 5 septembre 2002, M. Colin Powell, en provenance de Johannesburg où il participait au Sommet de la Terre, se rendait à Luanda (Angola) avant de gagner Libreville (Gabon) – deux pays producteurs de pétrole. Les experts s’accordent à dire que, au cours des dix prochaines années, le continent africain deviendra, après le Proche-Orient, la deuxième source de pétrole et éventuellement de gaz naturel des Etats-Unis. Au moins en attendant que « les choses se calment »...
Deux voies stratégiques sont au centre de la pensée militaire américaine : à l’ouest, l’oléoduc Tchad-Cameroun, à l’est, l’oléoduc Higleig - Port-Soudan. Et l’on parle d’un projet d’oléoduc reliant le Tchad au Soudan.
En juillet 2003, une tentative de coup d’Etat à Sao-Tomé-et-Principe, petit Etat très riche en réserves de pétrole associé au Nigeria, a précipité l’intervention de Washington dans l’archipel. A peine trois mois plus tard, des compagnies pétrolières, essentiellement américaines, ont offert plus de 500 millions de dollars pour explorer les eaux profondes du golfe de Guinée, que partagent le Nigeria, la Guinée-Equatoriale et Sao-Tomé-et-Principe. Soit le double de ce que les trois pays espéraient obtenir. "
"Le monde diplomatique"
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Votre Hajji Mansour dévoué, prêt en à découdre ensemble fii-sabiilillaah, avec tous les impérialismes qui voudraient faire main basse sur le Sénégal et toute la région, vitalement parlant.
Je vous en appelle donc humblement, à la conscience et à la mobilisation révolutionnaire musulmane avant que cela ne soit trop tard, d'autant plus qu' il s'agit ici historiquement de Terre d'Islaam !
A bon entendeur salut!